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Documentaire.Les branleuses.french.xvid.avi (Size: 499.56 MB)
DescriptionRéalisateur : Frédérique Barraja Producteur : Magali films / Canal+ / Planète+ no limit Genre : Documentaire Titre original : Les branleuses Durée : 59mn 12s Date de sortie : 2011 Ce documentaire est déconseillé aux moins de 16 ans A 33 ans, alors qu’elle traverse une période difficile, lles médecins invitent la photographe Frédérique Barraja à renouer avec son corps. Yoga, acupuncture, massages, elle essaye tout, sans succès, jusqu'à ce qu'une amie évoque la masturbation. Cette révélation l’amène à s’interroger sur le rapport qu’entretiennent les femmes avec leur corps, sur cette pratique intime encore tabou. Dans ce documentaire, elle part à la rencontre de femmes de 20 à 50 ans qui se confient sur leur sexualité. Au détour de conversations entre copines, on aborde le sujet sans langue de bois. Les témoignages sont entrecoupés de clichés pris sur le vif par la réalisatrice, montrant des femmes en flagrant délit d’onanisme, clichés qui ont fait l’objet d’une exposition. Un documentaire qui aura le don de décomplexer toutes les « branleuses ». C’est Odile Buisson, gynécologue obstétricienne, la première à avoir réalisé en 2008 les toutes premières échographies de cet organe voué au plaisir, qui avait dégainé avec son livre « Qui a peur du point G ». On apprenait, que jusque-là, il n’y avait aucune science de la sexualité féminine, qu’on étudiait l’appendice sur des cadavres (soit sur des vagins vides, réduits à des tubes raides et atrophiques), et que la description du clitoris était erronée, n’ayant été remise à jour qu’en 1998 ! Mais surtout, et c’est le comble, c’est à partir de la douleur africaine et des femmes excisées qu’on l’a découvert en Occident. Le jour où elle a pris conscience qu'elle devait « être la seule à ne pas se masturber », elle s'est soudain sentie « bizarre, pas normale, limite ringarde ». Impression de faire tache dans cette société qui, si elle ignorait tout de la sexualité il y a peu encore, semble aujourd'hui considérer les pluri-orgasmes, les « femmes fontaines », les expertes du point G, comme un minimum syndical. Alors, pour comprendre, la réalisatrice a décidé d'aller « à la rencontre de ces branleuses modernes ». Confidences extirpées, chuchotées, gênées, affirmées ou propos féministes, coquins, badins, qu'importe, ils évoquent tous quelque chose de libératoire. Thérèse Clerc, l'octogénaire de ce documentaire, parle d'expérience. Elle rappelle l'influence de Mai-68 sur ce « déchaînement », cette rupture des chaînes qui comprimaient le corps des femmes. Sur l'importance, à tous âges, de se donner du plaisir, sans que celui-ci dépende forcément d'un autre. Cela devrait sembler naturel au XXIe siècle, ça ne l'est toujours pas. Parole de gynécologues, d'artistes, d'observatrices : le mot « tabou » s'invite encore au débat, quand la masturbation masculine, elle, a cessé de l'être. Pour preuve, bien sûr, les ravages de l'excision. Pour preuve, surtout, la méconnaissance de leur corps par les jeunes filles d'aujourd'hui. Et le tenace mythe du prince charmant, seul à même, n'est-ce pas, d'apporter la jouissance à sa dulcinée. Mystérieuse. Mystère que les photographies qui illustrent ce documentaire tentent de percer à jour. Des clichés intimes et élégants qui racontent, peut-être mieux que tous ces mots, « ce petit bout de bonheur, selon Thérèse Clerc, que nous avons entre les jambes ». (Maryvonne Ollivry, Le nouvel Observateur) Qualité : TVrip Format Vidéo : PAL - XVID - 1 060 Kbps Format Audio : MP3 - 48,0 KHz - 107 Kbps Langue : Français Nombre de fichiers : 1 Up réalisé par : Catharsis Total du post : 500 Mo Mon site de documentaires : http://apostasie-home.com/ Sharing WidgetScreenshots |