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Valérie Trierweiler - Merci pour ce moment (2014).pdf (Size: 847.03 KB)
DescriptionLe magazine people, que l'ancienne compagne du chef de l'Etat avait fait condamner pour avoir révélé un rendez-vous avec Hollande, estime qu'en l'évoquant elle-même dans son ouvrage, elle avère ses informations. Closer s’apprête à assigner Valérie Trierweiler en justice parce qu’elle écrit dans son livre avoir rencontré François Hollande après leur rupture, alors qu’elle a fait condamner le magazine people pour avoir rapporté ces rencontres, a-t-on appris mardi de source proche du dossier. Le magazine avait été condamné en mars et en juin pour atteinte à la vie privée et au droit à l’image pour avoir écrit que l’ex-compagne de François Hollande vivait avec un esprit de revanche, et avoir indiqué qu’elle avait revu le chef de l’Etat après leur séparation en janvier. La revue avait dû verser un total de 19 000 euros. Depuis la parution début septembre du livre de Valérie Trierweiler, Merci pour ce moment, Closer estime que l’esprit de revanche est avéré, tandis que la tenue des rencontres entre l’ex-Première dame et le président après leur rupture est désormais établie. La société Mondadori Magazines France, qui édite Closer, réclame un euro de dommages et intérêts, ainsi que le remboursement de ses frais de justice. Closer n’a pas souhaité commenter cette information. Contactés par l’AFP, Valérie Trierweiler a indiqué ne pas être au courant, et son avocat Me Georges Kiejman a qualifié la décision de Closer de «faribole». Écrit et édité dans le plus grand secret, Merci pour ce moment est un véritable succès de librairie : la journaliste de Paris Match revient dans ces 320 pages sur les «années enchantées» de sa relation avec Hollande puis la descente aux enfers de son couple après la révélation «Gayet». Dans son livre, la journaliste de 49 ans, qui n’était restée à l’Élysée qu’entre mai 2012 et janvier 2014, porte plusieurs coups durs à la réputation de François Hollande, disant notamment du président qu’il «n’aime pas les pauvres. Lui, l’homme de gauche, dit en privé : "les sans-dents" très fier de son trait d’humour». Sharing Widget |