Freedom - Black On White (1969) Freedom At Last (1969) Freedom (1970) [320 k]

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Freedom - Black On White (1969) Freedom At Last (1969) Freedom (1970) [320 k] (Size: 392.71 MB)
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 01 To Be Free.mp37.65 MB
 02 The Better Side.mp310.47 MB
 03 Attraction-Black On White-With You.mp318.12 MB
 04 The Butt Of Deception.mp36.59 MB
 05 The Truth Is Plain To See.mp38.88 MB
 06 Childhood Refections.mp37.1 MB
 07 Seeing is Believing.mp37.41 MB
 08 You Won't Miss.mp38.04 MB
 09 Born Again.mp39.9 MB
 1 Front.png2.6 MB
 2 Back.png5.81 MB
 3 Disc.png3.95 MB
 4 Book1.png5.02 MB
 5 book2.png6.82 MB
 6 book3.png5.51 MB
 7 book4.png5.79 MB
 01 Enchanted Wood.mp37.03 MB
 02 Down in the Bottom.mp310.35 MB
 03 Have Love Will Travel.mp36.61 MB
 04 cry baby cry.mp38.5 MB
 05 Time of the Season.mp311.29 MB
 06 Hoodoo Man.mp310.25 MB
 07 Built for Comfort.mp310.18 MB
 08 Fly.mp37.56 MB
 09 Never Loved A Girl.mp310.98 MB
 10 My Life.mp36.51 MB
 01 Nobody.mp37.85 MB
 02 In Search Of Something.mp39.05 MB
 03 Dusty Track.mp314.63 MB
 04 Man Made Laws.mp318.14 MB
 05 Ain't No Chance To Score.mp313.01 MB
 06 Pretty Woman.mp312.94 MB
 07 Freedom.mp311.9 MB
 08 Frustrated Woman.mp311.42 MB
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Description





3 albums pour le prix d'un !!
Y 'aurait il une malédiction Procol Harum ? Quand l’on sait le talent des créateurs de l’un des plus beaux slows au monde, la sortie non négligeable d’album pop parfait et au final, une indifférence qui n’a pas d’égale dans l’histoire de la pop… Pourquoi vous baratinez avec les Procol Harum ? Pour la simple et bonne raison que les Freedom sont nés du premier split de la bande à Gary Brooker.Les Freedom sont tous bonnement l’un des meilleurs combos de heavy rock anglais qu’il m’ait été donné d’entendre à ce jour, chaque morceau frisant la perfection. Ca swingue dure, vous tranche les veines à grand coup de riffs lacérés et lancinants, vous remue le bassin à chaque accélération de tempo, et miracle, vous fout des frissons sur les quelques ballades que le groupe veut bien nous accorder.Et alors me diriez-vous ? Ba ouais, les Freedom sont complètement passés à côté du wagon du succès, trop bon sans doute, trop intègres aussi, ou peut être trop subtiles. Quoi qu’il en soit, le même dédain qu’envers le Procol Harum de Gary Brooker. Et malgré leurs participations à de nombreux festivals pop, et des critiques emballantes.Premier Split du Procol Harum donc. Et Gary Brooker qui vire sans ménagement Ray Royer et Bobby Harrison dès la sortie du premier album. Pas graves, les deux repentis s’en vont arpenter les pistes d’un psyché plus violent, plus ardu. Et signent deux singles en 1968, avant de produire la musique d’un nanar italien, Attraction/Black on white de Dino De Laurentis. Sorti dans la confidence, le LP vaut aujourd’hui une petite fortune.Mais l’on s’écarte.





La fin 68 approche, et le groupe n’avance pas. Bobby Harrison réorganise le groupe autour de Steve Jolly (guitare), Peter Dennis (basse) et Roger Saunders (claviers), exit Ray Royer. Les circuits anglais apparaissant bouchés, le groupe s’exile quelques semaines en France et en Allemagne, où leurs prestations sont remarquées. Et bizarrement, c’est le label de Karakos, hyper actif de la pop music et amoureux transit de la fusion du jazz et du rock, qui permet au groupe de signer son premier contrat sur Byg Actuel !Fin 1969, les Freedom sortent enfin un premier essai, et aussi incroyable que cela puisse paraître, uniquement en France et en Allemagne (sur Metronome). La galette démontre une jolie panacée de rock psyché virant heavy, et s’aventure dans des reprises particulièrement bien réussies, comme ce Cry Baby Cry époustouflant ! Au final, le disque est une aventureuse tentative d’allier un son puissant à des courants plus classiques, brassant autant dans le blues que dans le soul, le pop, et même le funk ! Une vraie réussite que l’on délecte avec le temps.En 1970, fort de ces quelques succès en live, le groupe signe chez Probe, et déboule un heavy sans concession. Bien loin de ce premier essai expérimental, la bande de Bobby Harrison grave sur la cire un véritable disque de hard rock, qui devrait placer le combo dans le peloton de tête anglais. Steve Joly est particulièrement mis à contribution sur cet album, où sa guitare arpente avec stridence des montagnes de note. Les morceaux s’allongent, dépassant les 5mn, s’engouffrant dans d’épiques cavalcades heavy. Les mélodies développées sont somptueuses, le groupe swing à mort, et le tout est d’une cohésion impressionnante. On tient entre les mains l’un des tout meilleurs disques de 1970 !Preuve en est, ils signent enfin à la fin de cette même année sur Vertigo, label d’envergure internationale. Sur lequel ils enfonceront leur heavy dans des compositions de plus en plus lourdes, gravant deux très bons albums, frisant avec le progressif dans sa conception artistique. Ils partent alors sur les routes américaines, ouvrant pour le Jethro Tull et le Black Sabbath, les tournées deviennent harassantes, et le groupe toujours considéré comme un éternel poulain. En 1972, après 4 albums excellents, le groupe se sépare, chacun tentant sa chance ailleurs, dans la confusion la plus totale. Et l’un des meilleurs combos de hard rock anglais disparaît dans l’indifférence générale


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